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02 Aug 2017

Être un « dilettanti » littéraire

De l’italien dilettante (« amateur »), littéralement (« celui qui se délecte »), est un amateur de musique italienne et par extension, un passionné de littérature et d’art en général. Par l’emploi de son pluriel, dilettanti, et son synonyme (« fantaisiste »), j’ai préféré, de manière expresse et que « certains » n’hésiteraient pas à qualifier plutôt de « saugrenu » lui prêter le sens plus élargi « d’amuseur public » – une invention ou déformation originale de mot ce n’est pas ce que l’on exige parfois ! Donc par ce titre j’ai voulu vous présenter mes courtes histoires créées dans le cadre d’un cours en Création littéraire avec l’IFP (Institut de Formation Professionnelle) de Montréal en amuseur littéraire. Elles sont le résultat de six examens des différends modules proposés que j’aie réuni dans cette plaquette ou recueil de nouvelles et dont l’évaluation complète avec la note finale obtenue a été mise à la fin pour vous permettre de mieux en saisir tout le travail. À titre d’exemple, dans la première que vous lirez, Les nuits blanches de Jerry Bloomberg, en plus de la limite imposée d’un texte entre 1000 et 1500 mots, une contrainte additionnelle d’une série de 14 mots (manoir, étranger, inconnu, désert, volets, abandonné, roc, débris, prisonnier, secours, cabane, barreaux, noir, danger) devaient s’y retrouver sans aucune exception et écrit de la même manière.

Vous comprendrez de même pourquoi, par cette transposition plus imaginaire du mot dilettanti que, caricaturiste, homme-orchestre, cracheur de feu, jongleur et acrobate dans ce défi créatif ne pouvaient se contenter d’une prestation individuelle. Ils devaient former un prestigieux « tout » indissociable afin d’éblouir ce public de professionnels. Car, au-delà des exigences de la grammaire, de l’orthographe, du vocabulaire et des contraintes du choix et de la limite du nombre de mots imposés, même réussies avec brio, il n’y a qu’une seule chose que l’on attend de vous : épatez-moi ! C’est ce que j’ai tenté dans le but de parfaire mes connaissances et par l’obtention de ce diplôme en Création littéraire comme dilettanti !

Mon livre « Dilettanti littéraire » (croissance personnelle) est disponible dans la librairie en ligne Bookelis : https://www.bookelis.com/documents/28295-Dilettanti-litteraire.html 

« L'imagination est plus importante que le savoir. » (Albert Einstein) 

 

Michel Labbé

 

23 Jun 2017

Les vacances à la ferme

Qui parmi vous n'a pas vécu de tels moments dans son enfance et adolescence et ne souhaite que les revivre, transporté dans le temps, en vivant toute cette extraordinaire odyssée de quatre inséparables amis à bord du magnifique voilier FER-DE-LANCE dans l'entre-deux-mondes du, Labyrinthus columba. Une histoire que vous ne voudrez plus quitté et que vous relirez encore et encore... comme une musique qu'on aime écouter et dont on ne se lasse pas. Un roman jeunesse à emporter pour vos vacances d'été !

"Nous étions conscients à présent des dons que le Créateur nous avait octroyés en cette vie contre les forces du mal et pour le bien de notre prochain. Pour le reste, nous comprîmes que l’extraordinaire ne nous dispense pas des contraintes de l’ordinaire de la vie avec ses joies et ses peines. Max disait : « Il ne faut pas laisser la pensée seule avec l’imagination, il faut la laisser avec la vérité. »

Aussi, dévaler les pentes de la pinède en toboggan et dormir sous un feu de bois dans la cabane de l’indien Molimo en plein blizzard ; remonter la Rivière des Hirondelles en taquinant la truite et s’arroser dans ses clairs bassins ; jouer une partie de baseball avec l’abbé Daniel qui nous confessait ses erreurs et nous les nôtres ; regarder un bon film à la télévision en partageant un sac de réglisse ; à la ferme du père Gallet, s’élancer au bout du longue corde de chanvre dans le foin de la grange, chasser la marmotte dans les tas de roche et la nuit venu, s’étendre sur le dos dans l’herbe coupée des champs obliques pour y contempler les pluies de perséides de la comète Swift-Tuttle tout en jasant de notre avenir et former des vœux, faisaient partis de ce que nous appelions « nos petits bonheurs » et représentaient le lien indispensable de cette harmonie qui nous rendaient heureux et que nous ne voulions pas perdre pour tout l’or du monde."

Extrait du roman fantastique, Labyrinthus columba, D'un monde à l'autre, chapitre 16, par Michel Labbé. 

Disponible en version numérique sur,

Amazon (zone EURO), http://www.amazon.fr/Labyrinthus-columba-Mich…/…/B01EOUTXOU…

Google Play (zone USD), https://play.google.com/store/search…

Kobo (zone CAD), https://store.kobobooks.com/fr-…/ebook/labyrinthus-columba-1

 

Photo : Art/Peinture - Ferme Lessard (Saint-Victor, QC, Canada), tissée sur toile à la main par Clarisse Roy.

 

Bonnes vacances ! 

Michel Labbé 

19 Jun 2017

Écrire une histoire avec 14 mots

Parmi les exercices proposés dans le cadre de mon cours en Création littéraire avec l’IFP (Institut de Formation Professionnelle) il y en a un, et pas le moindre, qui secoue votre imagination de fond en comble au point de vous dire, ou pire, de vous le faire dire par votre muse d’un rire sardonique, juste parce que vous aimez le thriller et que vous ne l’aurez pas vu venir : « Te voilà bien pris au mot. Tu prétendais pouvoir écrire des histoires… eh bien, c’est maintenant ou jamais pour toi ! »

En quoi consiste cet exercice ?    

Vous devez écrire une courte histoire. Jusque-là, facile, me direz-vous. Pas autant que vous ne le croyez.

Ainsi, dans mon cas, en plus de la limite imposée d’un texte entre 1000 et 1500 mots, soit environ une page et demi, une contrainte additionnelle d’une série de 14 mots (manoir, étranger, inconnu, désert, volets, abandonné, roc, débris, prisonnier, secours, cabane, barreaux, noir, danger) devait s’y retrouver sans aucune exception et écrit de la même manière. S’ajoute à cela, l’orthographe réussie de votre texte, du premier mot jusqu’au point final.

Quelle note ai-je obtenu pour ma courte histoire ? Je vous laisse deviner, et amusez-vous à trouver les 14 mots.                  

 

Les nuits blanches de Jerry Bloomberg

Un ami d’enfance, Jerry Bloomberg, fait toujours le même cauchemar hallucinatoire qui le tient les yeux ouverts, tremblotant et tout en sueur, dans le noir implacable de sa chambre jusqu’à la première frange du jour. Cela confirme que notre inextinguible subconscient emmagasine, tel la mémoire d’un ordinateur, toutes nos visites sur le web, même les plus insignifiantes, et un beau soir… elles refont surfaces! Ce ne sont pas, comme on serait peut-être porter à le croire, que des débris épars de la mer le long de la plage de Waikiki qui s’enseveliront d’eux-mêmes sous le sable ou qui repartiront de la même manière qu’ils sont venus sans laisser aucune trace.  

          Il s’agit en fait d’une réminiscence de ce fameux voyage aux États-Unis qu’il a vécu, une funeste mésaventure perdu au beau milieu du désert de l’Arizona dans le manoir d’une pseudo comtesse autrichienne, Sissi la Grande, de la dynastie des Dorchtraüder ― une extravagante riche immigrée ayant perdu le nord! ―, qui en avait fait son amant prisonnier, parce qu’elle espérait toujours dans sa tête "monarchique blindée" le retour de son "chevalier-empereur d’Autriche" qui viendrait la délivrer de la diabolique suprématie « Reagannienne ».  Était-elle tout simplement une démocrate américaine frustrée qui dans ses hautes voltiges avait fini par devenir complètement « parano », je ne sais pas.

          Oui mais, me direz-vous, qu’est-ce qu’une habitation de ce genre pouvait bien faire dans pareil endroit avec une température oscillant autour de 43 degrés Celsius, my God!  Puis l’autre question, conséquente de la première. Comment, Jerry Bloomberg, le gars qui ne se laisse jamais prendre par un seul Hoax sur internet, a pu se retrouver séquestré par cette espèce de folle pendant 58 jours… Eh bien, imaginez-vous que derrière une apparente cabane à deux étages composée essentiellement de planches de pin écalées de sa peinture brune et placardées de différents panneaux de tôles publicitaires d’huile à moteur Quaker State et autres du même type plus ou moins rouillés sur les rebords, servant de station de service avec ses deux pompes à essence Ordinaire et Super,  se cachait à l’intérieur un tout autre décor somptueux reflétant bien son "haut rang" impérial : lustres de Crystal autrichien, chaises et sofa capitonnés de velours soyeux, lit baldaquin, argenteries ornées de pierres précieuses, enfin presque tout ce que vous pouviez retrouver de cette période faste.

          Assommé dès qu’il mit les pieds dans la trompeuse demeure par son valet, un géant de race noire qui obéissait à ses moindres désirs et qu’elle avait surnommé dans sa psychose « Gounod » comme le célèbre compositeur; il fut enfermé dans le donjon d’un caveau avec ses murs de roc et une seule petite ouverture en demi-lune de barreaux d’acier plein de 3 cm qui donnait sur l’arrière-cour, mais dont la hauteur était inaccessible. La trappe sur le plancher du rez-de-chaussée constituait l’unique échappatoire par laquelle on l’avait largué comme une poche de sable, ce qui avait été la cause de ses deux côtes cassées qu’il avait dû endurer durant tout ce temps. Il s’époumona à crier au secours jusqu’en avoir plus de salive, mais en vain, personne ne l’entendit. Il ne lui restait qu’à espérer que le shérif du comté ou son adjoint découvrant sa vétuste Oldsmobile Cutlass Supreme 1976 qu’il avait abandonné sur la Nationale 89 à environ 30 kilomètres de là en raison d’une surchauffe du moteur, se lance à sa recherche avant qu’il fasse la macabre découverte d’un corps presque "squelettique".

          En effet, notre impératrice soucieuse de préparer son valeureux chevalier-empereur au combat, s’était mise dans la tête de lui imposer un jeûne de quarante jours, soit un petit pain rond qu’elle avait cuit dans son four à bois, accompagné d’une bouteille en plastique d’eau de 250 ml une fois par jour qu’elle laissait tomber en entrouvrant la trappe. Parfois elle conversait avec lui quelques instants en plaçant la pointe de sa canne entre la trappe et le plancher, lui promettant bonheur, richesse et puissance dans son futur empire.

          Un soir, le vent s’éleva avec beaucoup de force et il l’entendit fermer les volets des fenêtres qui battaient sous les rafales. Il avait cru comprendre à plusieurs reprises sa peur qu’il y ait des souris. Il savait également, lorsqu’il la vit pour la dernière fois, qu’elle portait une robe longue avec un décolleté très plongeant. Jerry conscient du danger qu’il courait, eut un éclair de génie quand il se réveilla un matin en compagnie d’un minus inconnu, un mulot grignotant les quelques miettes restantes de son pain. Il l’apprivoisa et lui donna le surnom de « Mutin » parce qu’il se rebellait très vite quand il tardait à lui donner sa ration de pain.

          Depuis les longues semaines qui s’étaient écoulées, seulement un étranger s’était approché de la maison pour se plaindre du service à la pompe. Preuve que Gounod s’occupait bien de garder les clients à distance, leur remettant le change de leurs coupures d’argent à leur véhicule. Et si quelqu’un voulait aller au petit coin pour faire ses besoins, il lui remettait la clé du cabinet situé sur le côté. C’est tout ce qu’on pouvait avoir comme service : le gaz et des gaz!

          Il imagina alors que s’il pouvait la convaincre d’ouvrir la trappe complètement pour la voir et lui parler, pendant que Gounod serait occupé à la pompe, et vu sa phobie des souris, il lancerait Mutin sur elle hors du trou, pour appeler à l’aide ensuite de toutes ses forces.

          Le cinquante-huitième jour, il la supplia d’une voix amadoueuse d’ouvrir la trappe. Ô miracle, elle succomba à son charme et il exécuta son lancée avec un résultat qu’il n’avait pas osé espérer : le mulot tomba directement dans le creux de sa généreuse poitrine. Elle se mit à crier en courant dans tous les sens pour finalement se diriger vers l’extérieur.

          ― Gounod à l’aide! À l’aide! Cette sale bestiole est sur moi! Vite! Je vais m’évanouir!

          Le serviteur accourut vers elle en tentant de la calmer. Sauf que, le client qui était là par la Divine Providence n’était nul autre que le shérif du comté qui, descendant de son véhicule et se rapprochant de plus en plus de la cabane impériale, entendit le cri désespéré d’un homme semblant être fort mal en point. Ce qu’il découvrit tenant en joue les deux scélérats avec son fusil à pompe. 

          Depuis, Jerry a des flash back qu’il n’arrive plus à se défaire.

© Copyright Michel Labbé – Tous droits réservés 

 

Michel Labbé 

 

 

16 Jun 2017

Notre monde décrit tel quel en 1931

Le Meilleur des mondes (Brave New World) est un roman d'anticipation dystopique (science-fiction) écrit en 1931 par Aldous Huxley. Il parait en 1932. Huxley le rédige en quatre mois seulement, à Sanary-sur-Mer, dans le sud de la France. Vingt-cinq ans plus tard, Huxley publie un essai dédié à ce livre, Retour au meilleur des mondes, insistant notamment sur les évolutions du monde qu'il perçoit comme allant dangereusement vers le monde décrit dans son ouvrage.

Le roman d’anticipation dystopique est une forme de récit de science-fiction se déroulant dans une société imaginaire dont les défauts y sont dénoncés. Et notre époque n’est-elle pas la réalisation presque mot pour mot de ce qu’il a vu de son antre d’écrivain en 1931 :  

« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées.

Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.

On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.

Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu.

Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir. »

Extrait du roman de science-fiction « Le Meilleur des mondes » écrit en 1931 par l’écrivain britannique, Aldous Huxley (1894-1963).   

À nous maintenant de le changer pour « un Monde meilleur » !

 

Michel Labbé

12 Jun 2017

Existence des géants confirmée

L'Institution Smithsonian admet la destruction de milliers de squelettes humains géants au début des années 1900, titre l'article anglais de, Anti News Network.

Une décision de la Cour suprême des États-Unis a forcé l'Institution Smithsonian à publier des documents classés datant du début des années 1900.

L'organisation avait été impliquée dans un dissimulation historique de la preuve montrant des restes humains géants dans les dizaines de milliers qui ont été découverts à travers l'Amérique et condamnés à être détruits par les administrateurs de haut niveau pour assurer la protection de la chronologie générale de l'évolution humaine à cette époque.

Des allégations ont été faites par l'institution américaine d'Archéologie Alternative (AIAA) que l'Institution Smithsonian avait détruit mille restes humains géants au début des années 1900 n'a pas été bien reçu par l’Institution Smithsonian qui a réagi en poursuivant l'AIAA pour diffamation et dommage à l’Institution de 168 ans.

Au cours de l'affaire devant le tribunal, de nouveaux éléments de preuve ont été présentés alors que plusieurs « Smithsoniens » ont admis l'existence de documents qui auraient prouvé la destruction de dizaines de milliers de squelettes humains atteignant entre 6 pieds et 12 pieds de hauteur [...]

« Depuis le début des années 1900, les institutions archéologiques de l'Ouest nous ont fait croire que l'Amérique a d'abord été colonisée par des peuples asiatiques qui traversent le détroit de Bering il y a 15 000 ans, alors qu'en réalité, il y a des centaines de milliers d'enterrements de monticules dans toute l'Amérique que les indigènes affirment avoir longtemps avant eux, et qui montrent des traces d'une civilisation hautement développée, d'une utilisation complexe d'alliages de métaux et où des restes de squelette humain géant sont fréquemment trouvés mais ne sont pas encore signalés dans les médias et les points de presse […] » 

http://www.antinews.in/smithsonian-admits-destruction-thousands-giant-human-skeletons-early-1900s/

À cet effet, j'y consacre une partie du chapitre 5 de mon roman fantastique, Labyrinthus columba, et comme je le mentionne : « il apparaît assez évident que des chercheurs reconnus et compétents ont trouvé des éléments importants qui viseraient à confirmer l'existence de géants sur la Terre à une époque très reculée...  

Maintenant place à ma croyance de sillonneur des mers, concernant les pierres de Stonehenge. Je me range sans difficulté derrière Geraldus Cambresis, cet auteur du Moyen Âge que je vous ai cité plus haut, à savoir qu’une civilisation de géants a bel et bien existé : n’en déplaise à toute cette brocanterie de frileux scientifiques modernes darwiniens qui ne veulent toujours pas l’admettre malgré tant de preuves accablantes ! “Notre ancêtre serait le singe” disent-ils, mais une race d’hommes géants et d’une intelligence extraordinaire n’aurait jamais foulé le sol de notre Terre. Sauf peut-être si on trouvait je suppose le squelette d’un singe géant… et là il faudrait indiscutablement les croire. Non bien sûr, et ne soyons pas dupe d’une telle escroquerie. Parce que pour eux, admettre l’existence d’une humanité géante revient à reconnaître l’utopie de leur théorie et la suprématie du Créateur, voilà la vérité !

La Bible constitue une source de première importance lorsqu'on veut étudier l'histoire des géants. On y retrouve de nombreux renseignements précis et concrets qui ne prétendent pas prouver quelque chose. Les mentions d'hommes de grande taille se présentent à titre de fait et ne semble pas avoir d'importance spéciale. Surtout, les passages relatifs aux géants (Genèse, Nombres, Deutéronome, Josué, Samuel, Chroniques, le Livre de Job, l'Apocalypse) émanent de rédacteurs variés dans le temps et l'espace : ils présentent donc tous les caractères de l'authenticité historique. La Genèse, chapitre 6, versets 1 à 4, apporte les éléments les plus importants : “et il arriva que les hommes commençaient à se multiplier et que des filles leur naquirent. Que les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles et ils prirent pour femmes celles qui choisirent. [...] Et il y avait des géants sur la Terre en ces temps-là et, par la suite, quand les fils de Dieu s'unirent aux filles des hommes et en eurent des enfants, ces enfants devinrent des hommes puissants qui furent des héros célèbres de l'antiquité.” Dans les Nombres, chapitre 13, verset 33 : “et là, nous vîmes des géants, les fils d'Anak, qui viennent des géants, et à nos yeux, nous étions devant eux comme des sauterelles.” Nous devons constater que les hommes ne purent jamais s'entendre avec les géants. La Bible nous rapporte l'écho de leurs luttes pour le pouvoir où la conquête de nouveaux territoires. Dans le Deutéronome, chapitre 3, versets 3 à 11 : “et nous prîmes toutes leurs villes, car Og seul restait, des fils des géants, et voyez, son lit était un lit de fer, et n'est-il pas à Rabbath, chez les enfants d'Ammon, et il était de neuf coudées de long et de quatre de large, des coudées d'homme.” La coudée faisait environ 0,45 mètres de long, la taille du roi Og serait donc supérieure à 4 mètres, soit plus de 13 pieds ! »

Découvrez-en davantage sur le gigantisme en vivant toute l'aventure dans le monde extraordinaire du Labyrinthus columba :  

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Google Play, https://play.google.com/store/search?q=Labyrinthus%20columba&c=books

Kobo, https://store.kobobooks.com/fr-fr/ebook/labyrinthus-columba-1

Fnac, http://recherche.fnac.com/SearchResult/ResultList.aspx?SCat=0%211&Search=Labyrinthus+columba&sft=1&sa=0

ePagine, http://www.epagine.fr/listeliv.php?mots_recherche=Labyrinthus+columba&base=ebook

Chapitre, http://ebook.chapitre.com/ebooks/labyrinthus-columba-9782363155733_9782363155733_1.html

Bookeen, https://www.bookeenstore.com/ebook/9782363155733/labyrinthus-columba-michel-labbe

 

Michel Labbé 

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